Blagounettes du tatapis

Madame Cafougnette vient d'avoir son permis. Elle s'engage à contre-sens sur l'autoroute.
- Mais i sont maboules ed'rouler si vite ! Et i n'savent pas rouler à droite, binde ed-niqu'doules !
Finalement, elle se fait intercepter par la police.
- ej'm'in doutos qu'j'allos vous vir ! I m'faijottent tertous des appels ed'phares !

Cafougnette s'est perdu dans les bois. Il voit une petit cabane et il frappe à la porte :
- Y'a quéqu'un ?
- Ouais ! répond un enfant.
- Tin père i est là ?
- Nan ! I est parti y'a un quart d'heure !
- Et t'mère, all'est là ?
- Nan, all'est partie d'ichi au momint qu'j'arrivos !
- Mais que famille ! O'n'êtes jamais insempe, alors ?
- Nan ! Ichi, ch'est ches cabinets !

Cafougnette demande au médecin :
- Alors Docteur ? Vos croyez que j'dos m'faire opérer ?
- Ouais, mais ch'est pas grafe ! Ch'n'est qu'inne tiote opération !
- Ouais, mais ch'est toudis imbêtint !
- Acoutez ! Chi vous voulez, vous n'avez qu'à printe un deuxième avis médical !
- Ch'est cha ! J'arviens d'main Docteur !!

Un soir au dîner, la petite demande à son père :
- Papa, pourquoi qu't'éto toudi tout rouch ?
- Ben tu vô m'file, chéto l'été, et in mobylette tu prin des coups ed'soléle et t'pio elle devient toute rouch.


La fillette opine du chef mais ne paraît pas totalement convaincue.
- Mais pôpô, in hiver aussi t'es tout rouch...
- Ben oui m'file, in hiver y faiso frô. Su'mobylette, le frô et ch'vitesse, cha t'faiso in' pio toute rouch avec...


Alors la mère, excédée, saisit la bouteille de 5 étoiles et la tend à sa fille.
- Tiens, passe el'mobylette à tin père !

Madame Cafougnette va chez le médecin toutes les semaines .
- Docteur, j'cros qu'min coeur i bat trop vite ! Docteur, j'cros qu'mes boïaux i sont loïés ! Docteur, j'cros que j'vas pas passer l'hiver !
A chaque fois, le médecin la rassure. Puis il ne la voit plus pendant six mois.
Un jour, elle réapparaît dans son cabinet.
-Ah ! Ch'a fait longtimps que je ne vous avais pas vue !
- J'n'ai pas pu v'nir ! J'ai été malate !!

Cafougnette se rend au commissariat et déclare :
- Monsieur l'commissaire, em'femme all' a disparu !
- Depuis combien de temps ?
- Cha va bétôt faire un an !
- Et c'est seulement maintenant que vous venez signaler sa disparition ?
- Bin, j'osos pas l'croire

Cafougnette rencontre un camarade.
- Cha va, Cafougnette ?
- Bof ! J'ai interré m'belle-mère el'semaine passée !
- Ah bon ! Quo qu'all' avot ?
- Pas grand cosse ! Chinq caïelles, inne tape, inne gard'robe et pis gramint ed'fouffes !

Cafougnette rencontre un camarade.
- Alors Cafougnette, t'as trouvé d'l'ouvrache ?
- Ouais, mais ch'est terripe ! Faut s'léver à quatre heures ! Faut déchinde à six chints mètes ! Faut ouvrer al caleur ! Faut supporter
ch'porion qui est toudis sus tin dos ! T'as vingt minutes pour minger ! T'as pas l'drot ed't'arrêter ! Et quand qu't'armontes, t'es tellmint mate que té
t'laiches querre comme inne mouque jusqu'à c'que ch'revel i sonne à tros heures du matin !
- Mais ch'est terripe ed'l'ouvrache parel ! Et té fais cha ed'pis quand ?
- Euh...j'comminche d'main matin!

Cafougnette travaille au fond de la mine. Il doit transporter sur le chantier des bois de soutènement.
Le porion l'interpelle :
- Hé là, ti ! Commint qu'cha s'fait qu'té portes seul'mint un bos à l'fos ?
Tes comarates, i n'in portent deux à chaque cop !
- Ouais, mais eusses, i sont trop fates pour faire deux voïaches comme mi !

Deux élèves de Polytechnique marchent le long de leur campus lorsque
l'un des deux, admiratif, dit à l'autre :
- Où est-ce que tu as trouvé ce vélo ?
Le second lui répond :
- Ben en fait alors que je marchais hier et que je pensais à la formule
chimique du café au lait, je croise une super belle fille des HEC en
vélo qui s'arrête devant moi, pose son vélo par terre, se déshabille
entièrement et me dit "Prends ce que tu veux". J'ai donc choisi son
vélo.
Le premier hoche la tête et lui dit
- Tu as raison, les vêtements auraient certainement été trop serrés.

Chirac et Bush discutent politique. Bush demande a Chirac:
- Comment fais-tu pour avoir des hommes politiques aussi organisés?
- C'est facile, je les teste, je leur pose des questions et si ils répondent
correctement ils peuvent rester, tien regarde.
Chirac prend son portable et appelle De Villepin:
- Dominique c'est Jaques, tu connais la règle, tu réponds ou tu es viré,
alors c'est l'enfant de ta mère mais ce n'est ni ton frère ni ta soeur, qui
est-ce?
- Facile, c'est moi.
Bush étonné, rentrer chez lui et appel son premier ministre:
- Si tu répond faux, tu es viré, c'est l'enfant de ta mère mais ce n'est ni
ton frère ni ta soeur, qui est-ce?....bon c'est dur, je te laisse 24 heures.
Le premier ministre, désemparé, appel le père de Georges W. Bush.
- Monsieur, c'est l'enfant de votre mère mais ce n'est ni votre soeur ni
votre frère, qui est-ce?
- Facile c'est moi.
Le lendemain le ministre arrive vers Bush.
- Monsieur je sais la réponse c'est votre père.
Bush regarde son premier ministre et lui dit:
- Fais tes valises, la réponse c'est De Villepin

Un peu d'humour noir...

Quelques jours avant la rentrée des classes, on procède à la traditionnelle photo de classe. La semaine suivante, l'institutrice essaie évidemment de persuader les enfants d'en acheter une chacun.
- Pensez à l'avenir, vous serez bien contents dans quelques années, quand vous serez grands, de vous dire en regardant la photo: " tiens, là c'est Julie, elle est médecin maintenant" ou encore "là c'est Kévin, il est ingénieur et là c'est Amélie, elle est manucure"......
A ce moment une petite voix se fait entendre du fond de la classe:
- Et là c'est la maîtresse Mme Planchon, elle est morte ! "

Mon jeune fils m'attendait.
"Où tu étais maman?"
"J'étais chez l'esthéticienne"
"C'est quoi ça une esthéticienne ?"
"Ça c'est une madame qui te rend belle"
"Ah oui, elle n'était pas là?"

Parmi les étudiants, il était surtout connu pour ses blagues salaces,
distillées avant chacun de ses cours, pour le plus grand plaisir des
étudiants du sexe fort et au grand dam des représentantes du sexe
faible, choquées par cet humour libertin.
Aussi, celles-ci décidèrent d'un commun accord qu'à la prochaine
plaisanterie grivoise, toutes quitteraient l'amphithéâtre. Ayant eu
vent du complot, notre fantasque professeur décida de rentrer dans
leur jeu.

Arrivant dans la salle de cours ou ses élèves l'attendaient, il
lâcha :

« Savez-vous qu'on manque de salopes en Irak ? »

Outrées, les étudiantes se levèrent précipitamment et se
dirigèrent vers la sortie.

L'enseignant leur cria :

« Hé ! Attendez! L'avion ne part que demain... »

mouai mouai tu te doutes bien que j'vais grommeler en voyant la dernière... Un peu facile et prévisible comme chute en plus...

C'est un gars qui se ballade sur une plage déserte et découvre une lampe
magique à moitié recouverte par le sable. Il la ramasse, et l'astique un
petit peu pour la nettoyer... Aussitôt un génie s'en échappe et lui propose
de réaliser trois de ses voeux en guise de remerciements. "Super!" dit le
gars, "d'abord, je veux un milliard d'euros"
Shouffff! En un éclair et un grand nuage de fumée, un papier apparaît dans
sa main: c'est un extrait de compte en Suisse à son nom... et le montant
indique bien en crédit 1 000 000 000 d'euros.
"Ensuite, je voudrais un chouette palais sur une île déserte de la Polynésie
française"
Shouffff! Un éclair et un nuage de fumée plus tard, il tient dans la main le
titre de propriété d'un petit atoll et la photo d'un superbe palais de
marbre blanc.
"Et pour finir, je voudrais devenir irrésistible pour les femmes!"
Shouffff! Un éclair et un nuage de fumée plus tard, le gars se retrouve
transformé en une boite de chocolats!

Voilà c'est mieux...

J'essaie juste de contenter tout l'monde...

j'veux juste dire que "salopes en Irak" c'est limite moralement en regard de ce qui s'y passe. Tu sais bien que je ne suis pas la dernière à participer lorsqu'il s'agit de faire des blagues sexistes...

Un voleur entre dans un manoir, et va tout de suite s'attaquer au coffre.
Il travaille déjà depuis 5 minutes quand il entend :
" Jésus te regarde avec un air méchant".
Le voleur se retourne, personne. Il continue et :" Jésus te regarde
méchamment". Il se retourne et il dit :"Qui est là?". Et il voit un
perroquet qui dit :" c'est Tutule".
Il dit :"C'est con Tutule comme nom pour un perroquet!
- Et Jésus, c'est pas con pour un pitbull!!!"

Un collégien peu assidu étudie le sujet de sciences nat' de son brevet des
collèges (on dit peut-être plus 'sciences nat' d'ailleurs) :

"Citez quatre avantages que peut avoir l'allaitement par rapport à d'autres méthodes de nutrition."

Peu inspiré, il hésite, se gratte la tête, et se lance :

1 - Pas besoin de stérilisation
2 - Le lait ne tourne pas
3 - Le lait est disponible immédiatement, selon les besoins

Jusque-là, il le sent pas mal cet exam'. Mais bon, il faut quatre avantages.

Il cherche, les deux heures sont presques écoulées, il n'a plus de crottes de nez depuis belle lurette, ses oreilles sont propres, ses ongles tous rongés.
Au moment d'attaquer le machouillage de ses lacets, quand retentit le "C'est fini, je ramasse les copies" du surveillant, il a une illumination.

Il attrape son stylo et gribouille hâtivement :

4 - Disponible dans des emballages attractifs de tailles variées

Il est maintenant en école de commerce...

Dans un restaurant de Bruxelles, trois Japonais discutent avec un
Belge, un Allemand et un Américain.
Comme ils ne sont pas d'accord sur la manière de gérer l'économie d'un
pays, le ton monte très vite.
Tout à coup, l'Américain se lève, coiffe son Stetson et s'adresse de
manière véhémente au premier Japonais :
- Come on, Boy ! Follow me dans la rue et je vais show to you comment
je règle this problem à Houston, Texas !
L'américain sort, suivi de près par le japonais.
Deux minutes après, il revient l'oeil poché et la chemise déchirée.
Le Japonais suit et dit aux autres :- C'est truc japonais. Judoka.
L'Allemand s'énerve à son tour et dit au second Japonais :
- Nous afons les moyens te fous faire gomprentre. Fenez tans la rue !
Schnell !
Il claque des talons et sort. Le Japonais lui emboîte le pas.
Deux minutes plus tard, l'Allemand repasse la porte, le nez en sang et
les cheveux hirsutes.
Le Japonais entre à son tour et dit :- C'est truc japonais. Karatéka.
Vient alors le tour du Belge qui en ras le bol de toutes ces
carabistouilles.
Il se lève et dit au troisième Japonais :
- Allez, Fieu ! Viens dehors dans la rue deux minutes, une fois !
Je vais te montrer une fois comment on fait chez nous à Bruxelles, une
fois !
Il disparaît, accompagné par le dernier Japonais.
Deux minutes passent. Puis trois. Puis cinq. Puis dix.
Enfin, au bout d'un quart d'heure, le Japonais revient en se traînant
sur les genoux, le costume en lambeaux, une pommette éclatée, le nez aplati, deux yeux au beurre noir et une oreille presque arrachée.
Le Belge le suit en agitant un objet et dit haut et fort :
**- Ca aussi c'est un truc japonais une fois. C'est le cric de ma Toyota!!!**

Grand-père et Toto se baladent dans les allées du jardin public un mercredi après-midi.
- Dis papy, demande Toto, est-ce que tu vas prendre les pilules de Viagra dont ils parlent à la télé ?
Grand-père le regarde en souriant et lui répond :
- Non, Toto, je ne crois pas.
- Mais pourquoi, papy ? Reprend Toto.
- Parce que. A quoi bon mettre de l'encre dans ton stylo si tu n'as personne de valable à qui écrire ?

Afin d'améliorer la productivité de l'agriculture russe, Poutine envoie deux diplomates en poste à Paris faire une enquête dans les campagnes françaises.
Ils arrivent dans une ferme, descendent de leur grosse limousine noire, et
se présentent au brave paysan
- Ivan Destok... attaché d'ambassade.
- Ivan Despoutine... attaché d'ambassade. Et le paysan leur serre la main en disant
- Moi, y vend des poireaux attachés avec une petite ficelle.

C'est un poseur de moquette qui est employé par une petite mémé. Au bout d'une longue après-midi de travail, il décide de se fumer une clope. Mais il s'aperçoit qu'il a paumé son paquet. Il s'assoit, emmerdé. Puis il s'aperçoit qu `il y a une bosse sous la moquette. « Merde, mon paquet », se dit-il. Comme il n'a pas envie de tout refaire, il décide de l'aplatir. Il prend son élan et se met à sauter dessus comme un malade. Il saute, il
saute, si bien qu'à la fin, il n'y a absolument plus aucune trace de bosse.
La moquette est alors toute plate, bien unie. Tout content, il se rassoit.
La mémé entre alors dans la pièce
- Tenez, lui dit-elle en lui tendant son paquet de clopes. Vous l'aviez sans
doute perdu. Tiens, au fait, vous n'auriez pas vu mon hamster ? Il s'est
encore échappé de sa cage...